Kevin Potier

Photo de Kevin Potier, écrivain français, auteur de romans contemporains.

Le chemin vers l’écriture

Je n’ai pas grandi avec l’idée d’être écrivain. Enfant, je lisais beaucoup, mais jamais je n’ai imaginé que je pourrais un jour publier un livre. L’écriture est venue plus tard, comme un besoin vital, presque instinctif.

Au fil du temps, j’ai commencé à noircir des pages, sans plan, sans but précis, uniquement pour donner forme à ce qui me traversait.
Ces mots, bruts, m’offraient un espace où déposer ce que je ne savais pas exprimer autrement.

À 44 ans, j’ai décidé de franchir un cap : mener un projet d’écriture jusqu’au bout. Sans stratégie, j’ai envoyé mon manuscrit à quelques maisons d’édition. Sur sept envois, trois réponses positives sont revenues, et Le Marchand de Réalités a vu le jour.

Ce roman raconte l’histoire d’un homme capable de façonner la réalité selon ses désirs… mais aussi prisonnier de ses propres failles. C’est une métaphore de nos choix, entre ce qu’on croit être vrai et ce qu’on choisit de croire pour être rassuré.

Aujourd’hui, je poursuis mon travail d’écriture à mon rythme, sans pression extérieure. Écrire est devenu un besoin, une manière de respirer.
Chaque projet est une nouvelle exploration, une tentative de mettre en mots ce qui résiste à être dit.

Demain, je continuerai à explorer ces mondes fragiles où le réel se fissure.
Si mes récits parviennent à toucher ne serait-ce qu’une personne, à l’émouvoir, la troubler ou la faire réfléchir, alors l’essentiel sera accompli.

Mon style littéraire

Je n’ai pas grandi avec l’idée d’être écrivain. Enfant, je lisais beaucoup, mais jamais je n’ai imaginé que je pourrais un jour publier un livre. L’écriture est venue plus tard, comme un besoin vital, presque instinctif.

Au fil du temps, j’ai commencé à noircir des pages, sans plan, sans but précis, uniquement pour donner forme à ce qui me traversait.
Ces mots, bruts, m’offraient un espace où déposer ce que je ne savais pas exprimer autrement.

À 44 ans, j’ai décidé de franchir un cap : mener un projet d’écriture jusqu’au bout. Sans stratégie, j’ai envoyé mon manuscrit à quelques maisons d’édition. Sur sept envois, trois réponses positives sont revenues, et Le Marchand de Réalités a vu le jour.

Ce roman raconte l’histoire d’un homme capable de façonner la réalité selon ses désirs… mais aussi prisonnier de ses propres failles. C’est une métaphore de nos choix, entre ce qu’on croit être vrai et ce qu’on choisit de croire pour être rassuré.