Jeune femme souriante tenant un livre ouvert avec plusieurs chapitres visibles, illustration en flat design.

Numérotation simple

C’est le choix de la discrétion.
On se concentre sur l’histoire, sans détourner l’attention.
Idéal pour les récits très immersifs, sans fioritures.

Titre + Numéro

Donner un titre à chaque chapitre, c’est créer un petit suspense.
Ça donne une ambiance, un indice, parfois un faux semblant.
Parfait pour les romans avec plusieurs points de vue, ou pour renforcer la tension d’une scène.

Les balises visuelles pour une lecture agréable

Le texte brut fatigue l’œil. Une bonne mise en page, c’est aider le lecteur à respirer.

Voici les outils les plus efficaces pour structurer sans alourdir :

Dinkus ou ligne de séparation ?

Le dinkus est plus littéraire, presque invisible pour le lecteur aguerri.
La ligne graphique attire plus l’œil, mais reste élégante si elle est fine.

Exemple concret de mise en forme

Pour visualiser comment tout ça s’imbrique, voici un exemple de mise en page :

Tu vois :

  • Le titre structure.
  • La phrase d’ambiance pose l’atmosphère.
  • Le dinkus fait respirer le texte sans casser la lecture.

Découper les longues sections : Sous-parties dans un chapitre

Un chapitre dense peut devenir lourd. Pour garder le rythme, tu peux :

  • Ajouter des sous-titres pour marquer des étapes importantes.
  • Utiliser des dinkus pour des transitions plus douces.

Le choix dépend du rythme :

Sous-titre si tu veux montrer une vraie coupure narrative.
Dinkus si tu veux une simple respiration.

Récapitulatif :

À retenir

Une structure claire guide le lecteur sans l’interrompre.

Pas besoin d’en faire trop : 2 ou 3 balises suffisent à donner du rythme.

Reste cohérent du début à la fin.